Gouverner c’est prévoir : la valse-hésitation de notre politique de santé
Depuis quarante ans, nous oscillons entre pénurie et pléthore de médecins, tel un navire sans gouvernail ballotté par les vents contraires de décisions contradictoires.Comment ne pas être consterné par l’augmentation vertigineuse du numerus apertus à 16 000 places ? Cette fuite en avant témoigne d’une approche aussi simpliste que dangereuse : croire qu’il suffit de […]