Cette jeune spécialiste qui s’estime « très bien lotie » dans sa pratique d’angiologue et de chirugien à la clinique Pasteur de Toulouse émet néanmoins « de grandes réserves sur l’accès aux soins des patients et sur ce qu’on fait vivre aux médecins libéraux en terme de pression, d’angoisse… » L’URPS défend bien selon elle les sujets de santé publique, mais il y a des progrès à faire sur la défense du médecin libéral .